La sélection du Revenu de fonds flexibles diversifiés. ( © Adobestock)
Les supports patrimoniaux et offensifs réagissent de façon dispersée. Les actions ont encore été le principal moteur de performance depuis un an.
La gestion diversifiée flexible, patrimoniale ou offensive a profité du rebond, après avoir, elle aussi, subi les effets de la crise sanitaire.
Ces stratégies d’investissement visent à préserver des performances positives dans toutes les configurations de marché. Comment trouver désormais la répartition optimale entre actions, obligations, monétaires, matières premières et devises dans un marché guidé par la perspective d’une puissante reprise économique, mais où les actions ont déjà fortement rebondi ?
Car après la vague baissière du 24 février au 16 mars 2020, les actions ont été le principal moteur de performance des allocations les plus offensives, non seulement dans le reste de l’année 2020, mais aussi en 2021.
Les fonds dits patrimoniaux, qui cherchent à limiter la volatilité en consacrant une part significative de leur portefeuille aux obligations, ont dû, eux aussi, recourir aux actions pour faire face à la rentabilité très faible, voire quasi négative, des actifs obligataires.
Retour en grâceLa grande diversité de stratégies de la gestion flexible explique les écarts de performance constatés dans ces familles de fonds sur la période récente (voir les tableaux).
Les fonds les plus offensifs, qui ont accru leur pondération en actions à partir de fin mars 2020, et ont maintenu cette conviction sur les quinze derniers mois, ont profité de leur prise
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